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4 mars 2008 2 04 /03 /mars /2008 11:52
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7 juillet 2007 6 07 /07 /juillet /2007 19:25
La fin de ces 15 mois de voyage fut de toute beauté ! Le nord du pays offre lui aussi de superbes paysages et Buenos Aires toujours autant de folie. Grâce aux jettables, il y a des photos aux charmes un peu old school, mais bon. Alors...


Après Mendoza, je me suis fait un petit trajet de 19 heures pour me rendre à Salta, la linda ! Et effectivement la ville est très chouette. Je suis allé faire une excursion au "salines grandes" : étendue incroyablement grande de sel à environ 4000 mètres d'altitudes ! La route traverse le desert nord-argentin plein de montages de toutes les couleurs ! Et on peut aussi voir des lamas avec leurs maîtres !
Aux salines, la vision est incroyable ! Cette étendue blanche, et le sel qui s'aglomère en hexagone ! Et l'eau toute bleue !

Chuttes !

Je suis ensuite rentré à Buenos Aires en avion. Et de la haute la vue est terrible  : le plat, la précordillière et au fond la cordillière.

De retour dans la capitale, je loge chez une copine, Véro, rencontrée à El Bolson, et direct la fête  : concert brésilien le premier soir, le lendemain concert d'un très bon groupe local puis fiesta dans un super endroit : la casa abierta ! Puis le lendemain, direction Iguazu, et les cataractes.

Là haut, Iguazu fait office de frontière avec le brésil, il fait bien beau et bien chaud et un peu humide. L'auberge était plein de gens bien sympas, tout comme les artisants rencontrés dès le premier soir et avec qui j'ai passé la plus grande partie de mes nuits !

De jour, le premier, je me suis rendu du côté brésilien qui permet d'avoir une vue panoramique sur les cascades. Car ceux ne sont pas des chuttes, et je trouve d'ailleurs que c'est plus impressionnant les cascades, plus jolies. Et, chose vraiment chouette, outre qu'il y 'ait en permanences des arcs en ciel géants, c'est qu'une passerelle permet de bien s'avancer, et ainsi de prendre une chouette douche d'embrunt dans un vacarme incroyable.

Le lendemain, j'ai passé la journée dans le parc du côté argentin. Ici, on est au pied des cascades ! La encore, sous un super soleil, la marche est vraiment géniale d'un "salto" à un autre, entouré de papillons de toutes les tailles et couleurs! Un régal ! Et point d'orgue, ce baigner dans une piscine naturelle et aller se mettre sous une chutte ! Genre Taïhiti douche, à part que l'eau doit pas dépasser les 12-13 degrés ! M'enfin se baigner dans un lieux si magique !!!


Epilogue
Puis retour chez Véro, et le encore et encore plus comme c'est le dernier week end : fiestas......c'est pour ça, j'espère que ce dernier message est tout de même compréhensible.
 
Je rentre donc lundi, la tête évidemment remplie de mille images des cette terrible grande année de voyage, et je vous rassure c'est pas fini...puisque fin juillet une amie mexicaine débarque en France, plus ou moins aux même dates, deux des chicos qui m'ont hebergé seront à Londres, tout comme Mara, l'anglaise avec qui j'étais en coloc a Buenos Aires. Et pas loin de Londres, il y a Manchester ou vit John, le fou d'El Bolson.
Mi aout, débarqueront en france Christian et Marcela, le couple de chilien carrément sympa, de Punta Arenas....Et en septembre, un couple de japonais devraient venir aussi.
Et puis en Allemagne, il y a Anna qui m'a hebergé à Seattle qui vit désormais à Berlin, André de Buenos Aires à Dortmund.
Et Nadia à Lisbonne, Beste en Turquie...des contacts pour aller en Andalousie aussi.
Bref, entre tout ça, il va falloir trouver un petit boulot (appel à offre !), un toit (de même). Et tout plein d'idées dans la tête. Avec en point de mire le Japon et l'Asie pour avril.

Au grand plaisir de vous revoir tous tout bientôt !
Un besito grande muy allegre !!!

El toto
ps : hésitez a me faire parvenir par mail vos coordonnées que je vous appelle dès que je peux !
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25 juin 2007 1 25 /06 /juin /2007 20:27
Bonjour à tous. Voici, comme promis un message un peu plus conséquent, qui sera peut-être le dernier. Le posage de sac parisien étant officielement prévu pour le 10 juillet.

Maisons colorées
Il y a quelques semaines, je suis donc allé retrouvé Mathias, un copain de l'istec, et sa copine qui habite a Viña Del Mar, station balnéaire à 2 heures de Santiago. Nous sommes allés passer une petite journée a Valparaiso, petite ville vallonnée aux maisons toutes colorées. Bref, deux jours bien sympa.

Puis retour à Santiago. Au fait, Santiago, et ba j'aime pas du tout : trop grand, pollué, stressé...Et aussi, j'a ipas vraiment accroché avec les Chiliens :  classista (notions de classe très forte, donc société très cloisonnée), peuple un peu triste, et très maldisant...Bref...M'enfin, mes hôtes des sites internets furent très sympas.

Grosses têtes
Mon petit séjour sur le petit territoire pasquan fut l'un des moments géniaux du voyage. Tout prend une dimension différente, ici, ou l'on est totalement perdu au milieu du Pacifique. L'environnement volcanique, les roches noires de la côte sur lesquelles se fracasse l'océan sont un spectacle hypnotisant. Et évidemement, au cours des ballades voir ces moaïs eparpillés un peu partout, souvent couchés et détruits avec leurs énormes chapeaux qui ont roulés plusieurs mètres plus loin est magique. Alors sur les sites ou ils ont éte relevés, la fascination est totale.
Mon endroit favori  : la carrière. C'est sur les flancs de ce volcan qu'était taillés les Moaïs. Ici on en voit encore certains à Même la roche, d'autres trônent bien droits ou totalement inclinés. Et si seule la partie supérieure de 3-4 mètresest visible , le reste du corps, soit environ 10 mètres est en fait sous terre.
A l'intérieur du volcan, on marche entre de plus petites têtes, entourées par la végetations, et dans le cratère : le lacs et le roseaux! Vision magique.

Incroyable rencontre
3 jours avant de partir, je décide de retourner camper (ce que j'avais fait la première nuit avec une famille également à l'auberge)...Mais la pluie me fait renoncer. Alors que je rentre au village sous un bonne douche, une voiture s'arrête et le type m'invite chez lui. Sa soeur, diginitaire Rapa Nui est marié à un Français, une sorte de Gaston Lagaffe. Chez eux le lit est gratuit en échange d'un ravitaillement de bouffe. J'ai passé là deux nuit absoluement géniales ! Et cette famille vit à 10 minutes de la carrières totalement seule au milieu de la nature ! !

Bon je n'ai pas de fotos car mon appareil est lui déjà à Paris, hsitoire un peu longue à raconter pour les quelques minutes qu'il me reste....de toute façon, on se voit bientôt.

BESOS A TODOS
ME voy a Salta la linda, y après Buenos Aires, Iguazy, y Buenos Aires !

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4 juin 2007 1 04 /06 /juin /2007 23:42

Coucou à tous ! Voici un petit message pour dire ce qui ce passe de par ici ! Bon tout va bien, je suis actuellementà Santiago, après avoir passé quelques jours, tous pluvieux, sur l´île de Chiloé.

Puis je suis allé passer quelques jours a Mendoza, en Argentine, avant de revenir à Santiago, pour bouger ensuite sur Viña ou je suis allé voir un copain de l'ISTEC, dont la copine étudie la bàs.

Puis demain, je bouge pour 10 jours sur l'Ile de Paque !!!

Donc tout va bien !

Un message plus conséquent en retrant !

BESOS
TOTO

 

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12 mai 2007 6 12 /05 /mai /2007 15:37

Une mauvaise carte, un mauvais temps, et me voilà bloqué 6 jours à 1300 mètres, dans la neige...Ce fut un peu long, humide, froid type condentation dans la tente qui se transforme en glace... stressant, mais tout va bien. Récit.

Sckratch, skratch, skratch...je crois que je me souviendrais longtemps de ces bruits de pas dans la neige. Pas des Guadaparques venus me récupérer le samedi : "Ca va ? on te croyait mort..." Premières paroles pas vraiment réchauffantes. M'enfin, les trois guarda m'aident à replier la tente, refaire le sac, et nous décendons enfin la montagne. En bas, un petit commité d'acceuil qui voyant 4 silouhettes dans l'obscurité s'écrit "Il est vivant !!!"...En bas, je retrouve Gutti, le compagnon de Macca (nous nous étions rencontrés à El Bolson) rentré le lundi d' Espagne

Ainsi, je pars le vendredi pour "3 ou 4 jours de marche" en fonction du temps. Macca, mon hôte, m'attend donc lundi ou mardi. Dans le bus, je demande au chauffeur de me poser au premier camping ou se trouve la casa des garde-parcs. Mais, un type assis à son côté lui dit que le début du sentier est plus loin. Bon. Puis ce monsieur, agent touristique, me précise que la carte du dernier tronçon est imprécise, que le chemin est de l'autre côté. Disant ce-ci il me montre la carte, et pointe le doigt sur le cours d'eau.

Beau début

Le vendredi, la marche est tranquille, dans la vallée, au milieu des nuances automnales des arbres, près d'un rio et dans le fond, les sommets enneigés. Le temps est magnifique, un véritable éte indien. Le lendemain idem. Quel plaisir. D'autant plus qu'encore une fois, les paysages ne décoivent pas. Traversée de canyon totalement blanc, lagune magnifique...et pour le sport, la déscente la plus technique que je n'ai jamais faite. Un sol super meuble, des pierres qui se détachent : bref une vigilance constante pour ne faire qu'une petite dizaine de chutte en deux heures. Enfin, j'arrive en bas, fatigué. Heureusement, il y a un campement intermédiaire, non indiqué sur la carte. Je me pose donc la pour la nuit. Tout le treck est génial car il n'y a pas de sentier à proprement parler, juste des amas de pierres pour indiquer la route. Et marcher dans la neige, souvent jusqu'à hauterude genoux, parfois de hanches est bien sportif aussi !

Et dimanche, quel bonheur ! Encore une journée de beau temps. Je me mets donc en route, arrive au camping "Néo Zelandes", qui selon la carte doit être dépassé. Effectivement, à la sortie une pancarte indique tout droit. Le chemin continue à travers la fôret, puis se pert. Je retourne donc sur mes pas, et vois des marques qui montent sur le flanc de la montagne. Bizarre...ce ne devrait pas être par là. Mais ceux sont les seules marques. Et effectivment ce n'était pas par là. Le chemin est en fait une boucle retournant au camping, ce qui ne me plait pas.

Ou est la sortie?

Lundi, neige...Je me décide de marcher un peu tout mème pour tenter de trouver le chemin, une marque du sentier qui devrait se trouver le long du fleuve...Mais la journée tourne á la tempête de neige. Je retourne donc au camping. Idem le mardi, neige, neige, neige. Mercredi le temps est clément. Je ressors donc, traverse le fleuve à la recherche de marques, mais rien, rien...Je ne comprends pas ou est la sortie ! Aussi, je décide donc de retourner au camping et d'attendre les secours. D'autant plus que le froid ne fais pas fondre la neige, qui cache peut-ètre le sentier. Par ce temps tenter de partir "en direction de" hors des sentiers est la pire idée.

Coup de chance, le jeudi le temps est correct aussi. Je pense donc que Maca va prévenir la sécurité ce soir. Ce qu'elle fit effectivement. Reste à savoir combien de temps sera nécessaire à la mise en place des recherches. De fait, à partir du vendredi matin, j'écoute attentivement pour déceler le bruit d'hélico. Mais petite torture naturelle, le vent s'engouffant dans la vallée au travers des arbres sonne exactement comme un bruit de moteur... Mais vers 11 heures, je suis sur d'en entendre un. Je sors donc en courant de la tente pour aller á ciel découvert. L´hélico passe mais ne se pose pas. Et la gros doute : m'a t-il vu ? Si oui, pourquoi ne s'est-il pas posé...Peut-être qu'ils m'ont vu et vont envoyer des secours dans l'après midi...Mais rien. Ils ne m'ont donc pas vu. Ce que me confimera un "guarda" qui était dans l'hélico. Ce fut là, la nuit la plus stressante. Car, si les secours doivent tarder encore, cela commencera à devenir dur. Pour l'eau pas de soucis, en revanche, il ne me reste que 2 petits jours de bouffe. Et assez de gaz pour boire quelque chose de chaud avant la nuit. car il fait toujours sous zéro.

Samedi, de nouveau le matin j'écoute, mais aucun hélico. Le temps passe, et vers 15h30, skracth, srkatch, skracth...oufffffffffffffffffffffffffffffff. Je vais donc enfin savoir ou est le chemin. Et nous partons en direction opposée que celle indiquée par la carte. A un moment, vraiment surpris de notre direction, je demande que l'on s'arrête 30 seconde, sort ma carte, et a peine les guides la voient, tous s'exclament "ah, non, elle est pas bonne celle-lá..." Ouai, peut-ètre, mais c'est celle que l'on m´a fournit à la Conaf (l'office des fôrets)

Debriefing

Le mercredi je suis allé voir le directeur régional de la Conaf pour expliquer ce qui s'était passé, l'histoire de la carte. En fait cette carte, ils ne l'utilisent plus, en ont imprimé une autre bien mieux avec les dénivellés et tout et tout. Je n'ai pas eu de chance, car quand je suis allé me rensigner il n'y en avait plus, et surtout la Madame, ba elle a jamais du faire le sentier, sinon elle m'aurait prévenu de l'erreur.

Bref, heureusement que j'ai du bon matériel, toujours plus de bouffe, de gaz pour chauffer l'eau, sinon la situation aurait pu ètre plus grave.

Voila voila...permière et j'espère unique grosse peur du voyage. Je suis désormais a Puerto Montt ou je suis arrivé en bateau, à travers les canaux Patagoniens...que c'est beau, que c'est calme. Une journée espectacularrrrrrrrr sans nuage, et donc de 10 à 18 sur le pont à admirer !

Besos a tous.

TOma-

PS: quelques photos en plus sur Voyure Chili

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20 avril 2007 5 20 /04 /avril /2007 19:28

Pata/puta/patouaaaa...gonie

Bonjour à tous, depuis une dizaine de jours et après environ 12 heures de bus depuis Ushuaïa, je suis arrivé au Chili, à Punta Arenas. Je loge chez Christian, un type plus que super sympa, et je reviens de 6 jours de marche dans le Torres, parc grandiose et mèdicinal. Chronologie des quelques 80 kilomètres parcourus.

Le Torres, c'est un lieu mythique pour la marche, qui offre toute la palette de paysage patagonien-glaciers, montagnes, forêts, lagunes...), le tout en mode splendide, avec ses propres climats empêchant toutes prévisions. D'un côté il peut neiger avec une visibilité casi nulle et 10 kilomètres plus loin, on peut marcher sous un beau soleil qu'aucun nuage ne cache. Pour ma part, j'ai eu de la pluie tous les jours et le derniers jours pas loin de 30 centimètres de neige au petit matin...Les nuits sont fragmentées par les reveils à cause du froid, du vent, de la pluie.

Ici, une carte pour visualiser le chemin.

 

J'arrive dans le parc avec l'idée de faire le grand tour, pas seulement le W. Je pars donc de l'administration (sur la carte, on la voit pas, deux heures au sud du refuge Peohe, en bas a gauche), et après 30 minutes de marche, un fort vent contraire se lève, bientôt accompagné par la pluie... Ça, c'est la Putagonie, gentille. Commence bien bordel !

Heureusement, l'eau ne tombera qu'une petite heure et le soleil me séchera rapidemment. Le début de la marche n'a rien de terrible, de la pampa toute plate, tous les sommets étant dans les nuages. Puis, après une bonne montée, une lagune bleu turquoise intense apparait. Ça c'est la Patouaaaagonie. Le sentier longe la lagune sur quelques kilomètres, puis j'arrive au premier refuge. De là, je continue ma route jusqu'au campement italiano a deux heures de là. Le temps est frais, et à partir de 18h30 il fait nuit. Sur le campement, je fais connaisance d'une japonaise qui finit le grand circuit : une semaine de mauvais temps, et il y a désormais de la neige jusqu'à mi mollet...Risque d'être "chaud". La fin de journée et le jour suivant me feront renoncer à mon projet. 26 heures de pluie inintérompue, soit 26 heures de neige la haut...plus ou moins.

 

 

JOUR 2

Rien. Je n'ai pas bougé du campement. Pluie intense, visibilité nulle. Longue journée seul sur le camps. Vers 17 heures, le Guadaparque débarque, nous parlons un peu...Aujourd'hui, il semblerait que sur le grand circuit il y ait de la neige jusqu'au genoux. Un peu plus tard, débarquent trois français, trempés ! La journée se terminera bien, puisque le guadaparque nous invite dans sa cahute : vin, piscot, chaleur, sécherresse. Nous dormirons également dans la cahute. Ouf, car il pleur encore et toujours. Putagonie.

 

 

JOUR  3

8h30, radio du parc : "aujoud´hui, ciel couvert, pluie continue". Ce sera le plus beau jour du trekk, sans une goutte de pluie, et même avec de belles périodes ensoleillée. Imprévisible le parc.

Ayant décidé la veille de retourner sur mes pas pour aller au glacier Grey, je me mets en route, et regardant le ciel au dessus de la vallée des français, j'ai un bon sentiment. Je retourne donc au campement, point de départ du sentier, laisse mon sac, met un peu de chocolat dans la poche et commence à monter. Pour l'eau, ba c'est facile, pas besoin d'en prendre, y' a des ruisseaux partout. Je viens à peine de commencer à marcher, que j'entends un Craaaaaaaaackk énorme. Je me tourne et vois pour la première fois une avalanche (tournez la tète car il pas possible de rotationner les videos). La suite du sentier est magnifique, entre rochers à escalader, franchissement de ruisseaux, marche dans la fôret.

Les nuages sont font plus fins, le bleu n'est pas loin. Le vent fait tomber la neige et l'eau des arbres, ce qui permet de voir de multiples petits arcs en ciel. Ça y 'est, j'apperçois enfin les Torres, effectivement, ça à l'air impréssionnant. Arrivé dans la première partie de la vallée, les tours et tout le cirque sont dégagés  : splendide, na vraiment...Patouaaaaagonie. Plus tard, c'est sur la neige que je marche, jusqu'au mirador, au dela du campement britanico. Ou je reste que quelques secondes, un gros nuage de neige fonçant sur moi. Les deux heures suivants seront donc sous la neige.

Le reste de la journée sera clément, et j'arrive au campement Pehoe après 8 heures de marche.

 

 

JOUR 4

Journée de Putagonique. Fine bruine, puis bonne pluie (mais sentiers très beaux), jusqu'au refuge intermédiaire ou je passe une bonne heure avant de repartir vers le camping Los Guardas, à 4 kilomètres. La fin de la journée se fait presque sous le soleil, mais pas suffisement pour sécher. La vue du glaciar Grey est magnifique (rajouter un peu de bleu glace aux images, difficile de prendre les photos avec ce temps).

Cependant à partir de 18 heures la pluie retombe et ne cessera pas de toutes la nuit. Bref, humide, humide, humide et froid.

 

 

JOUR 5

Je me lève de bonne heure pour aller jusqu'au bout de la "branche". Les sentiers sont toujours aussi beaux, et ici exigeants. Et parfois un peu dangeureux. En revanche, marcher à quelques mètres du glacier est un bonheur pour les yeux. Patouaaa...Je retourne ensuite au campement. Chouette, il ne pleut pas, mais pas de vent non plus, ni de soleil d'ailleurs.

La tente et les vêtements ne sèchent donc pas. Après une bonne heure d'attente je me remets donc en route vers le campement d'ou j'étais parti la veille. Les deux dernières de marche se feront sous une bonne pluie. J'arrive donc bien trempé au refuge. Je demande au proprio si je peux monter la tente sous le toit du "patio",histoire qu'il ne pleuve plus sur la tente dont la waterproofeité commence à montrer des signes de fatigue. Ba non, je ne peux pas. En revanche, il m'offre d'utiliser une tente à louer. Cool, assuré de passer la nuit au sec. Dans la cuisine, je fais connaissance d'un français encore plus trempé que moi et dont la tente est tout aussi fatiguée.

Nous partagerons donc la tente du campement !

 

 

JOUR 6

Ouh,bonheur, au petit matin la nature est calme. Il ne doit pas pleuvoir. Ouh, stupeur ! J'ai du mal à ouvrir le battant de la tente, presque bloqué par 15 centimètres de neige...qu'il continue de tomber. Tout est blanc. Je me mets donc en route de bonne humeur, car z'est joli la neige, la nature est calme, sans bruit et serai seul toute la journèe. Mais vite, je me rends compte que la journée va ètre dure. En effet, les sentiers sont édroits et bordés d'abres, qui sous le poids de la neige obstruent les chemins. Il faut donc sans cesse écarter les branches, le sac reste souvent accroché par ici ou par là et la neige s'y accumule, les pieds sont vites humides avant d'ètre trempés.

Car un peu plus tard dans la journée, quand la température monte, la fonte de la neige transforme les sentiers en petits cours d'eau ! Floc floc. Mais encore et toujours les paysages sont magnifiques. Au bout des 23 kilomètres de marche, j'arrive à l'auberge LOs Torres...put...30 euros, pour un lit, sans drap, ni electricite, ni cahuffage central, et mêmeme pas de petit dej´ : du vol. Mais trempé et bien fatigué, aucune envie de dormir sous la tente.

Et coup de chance, nous avons droit 'a 10 minutes de vision totale des torres !

 

JOUR 7

Grasse mat. Il fait pas beau, je ne monterais pas au point de vue puor voir los Torres. Sans regret car ceux qui sont montes, nònt rien vu. Puis une petite heure et demie de marche jusqu'au bus. de la, derniere vision des tours. J'arrive 'a 22 heures à Punta Arenas.

Heureux, fatiguè et toujours humide.

voila voila. Toujours plus de photos sur "en patagonie", les dernieres pages de l`album.

Je pars lundi sur la Carratera Austal. Je pensais aller au point extrême sud du continent, là ou l'on peut voir le point de rencontre entre le pacifique et l'atlantique, mais les conditions climatiques ne le permettent pas, donc...cap au nord.

BESOS à tous.

Toma 

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4 avril 2007 3 04 /04 /avril /2007 19:18

Toucher le ciel avec ses doigts 


Apres un mois passé dans la ville hypie, j’ai emprunté la route 40 et me voici rendu tout en bas du monde, en el fin del mundo. Récit de ces deux semaines, écrit de la maison de Mercedes, ou le chauffage ne marche plus. Autant dire que ça pèle un peu là.

 

Hola,


Adios el Bolson ¡ Il fallait bien partir un jour, mais j’éspère que je reveindrai dans cette ville, sans aucun doute mon coup de coeur d’Argentine et de tout le voyage.

L’étape suivante fut Esquel, petite ville sans grand chose à faire.  Mais la encore, des gens supers sympas. Arpès deux jours, je suis parti sur El Chalten par la route 40. Route apparement mythique, mais qui honnêtement n’a rien de terrible...

Bref un peu déçu, et décéption qui continuera un fois arrivé dans la “capitale nationale du trekking”...du treking d’une journée sur des sentiers presque tracés à la pelleteuse, sur lesquels des employés du parcs s’affairent à enlever les pierres pour que la marche soit plus facile.

La ville est posée aux pieds des montagnes, et c’est vraiment l’industrie touristique : très peu d’argentins, très peu aimables et tout très cher. Alors certes, le Fitz Roy et le Cerro Torre sont magnifiques, mais un peu dur à savourer , car il y a également beucoup de monde. En revanche, coup de bol, j’ai eu une journée splendide et donc ai vu les deux sommets, chose rare. Bref, arpès deux jours, je me suis enfui pour arriver à el Calafate. Là encore ville hyper ultra toutou, et pas de chance, j’ai passé la première nuit dans une auberge, ou j’étais le seul non israélien.

L’attitude de la jeunesse voyageante israélienne, tout autant que l’exaspération qu’elle provoque pour la casi totalité des autres nationalités pourrait faire l’objet d’un message à part entière. M’enfin, passons. Bref, suis resté tout seul dans mon coin, jusqu’à ce qu’une madrilène débarque et trouve elle aussi quelqu’un à qui parler. La demoiselle partait vers 3 heures du mat, nous nous sommes donc réfugiés dans un bar pour picoler quelques binouzes....

 

Pas de glace

Le lendemain, je me suis rendu -de bonne humeur vu que l’on venait de gagner les 6 nations et que j’avais changé d´auberge- au glacier Perrito Moreno. Après la déception d’El Chalten, j’étais un peu sur la defensive.

Mais là, non, rien á dire...le souffle est vraiment coupé face á cette étendue de glace. La masse bleutée est incroyable : 30 kilométres de glace, avec des bruits de craquellement incésants, qui résonnent sur les montagnes environnantes...et quand un bout de glace de 60 mètres de haut de détache et se fracasse dans l’eau, tout le monde se fige devant la beauté de la chutte. 4 heures á marcher à proximité de cette merveille et à la regarder passent à toute allure.

Et donne envie d’en voir plus. Le lendemain je suis aller au Lago Roca. De la, on a une vue plus large et d’un sommet on peut appercevoir le torres del Paines. Sauf que, le premier jour les nuages étaient très bas, et qu’il a plut le deuxième...Donc direction Rio Gallegos, ville de départ pour rallier le fin du monde.

 

Logique argentine

Rio Gallegos, c’est pas la fin du monde, mais plus sont, hum, trou de vous savez quoi. De fait, 2 jours et demi y passent lentement. Arrivé dans la matinée du jour un, je n’ai pu avoir une place dans un bus que le lendemain. Pour aller à Ushuaï on passe par le Chili, or mon visa de trois mois en Argentine ayant largement expiré, je savais que j’aillais payer une amende et je pensais que cela se faisait á la frontière, mais non. Je me pointe donc le matin au terminal et l’agent des douanes présent au départ m’informe que ça sert à rien que je prenne le bus car une fois à la frontière, je serais renvoyé à Rio Gallegos...

Et oui c'est dur de sortir du pays quant on est pas en règle. Moi je pensais que c´était l’inverse, que ne retenait pas les illégaux. Je suis donc allé au bureau d’immigration puor m’acquiter de 50 pesos d’ammende...50 pesos ¡ Si j’avais été à Buenos Aires faire une prolongation de 3 mois j’en aurais eu pour 100. Mouai, logique tout ça.

 

La fin du monde

Me voici donc a Ushuaia, ou je loge chez Mercedes, étudiante en tourisme et qui travaille dans une chouette auberge de jeunesse. Bref, elle a deux maison et de fait moi aussi...Sa “vraie” maison est tout en haut de la ville, à une demi heure du centre ville, et a une vue terrible...Seul petit problème,. Le sentier de tierre bien pentu pour accéder à la maison, surlequel je me suis étalé 4-5 fois déjà.

La fin du monde est une ville assez étendue, et qui est rapidemment sauvage, De nombreuses maisons sont dans les arbres, et l’autre jour nous sommes chez des amis qui vivent dans la montagne. La nature ici est belle, et l’air bien pur, bien frais aussi. La pluie en hauteur est neige. Les montagnes changent donc souvent de couleurs. Les arbres sont oranges, verts, jaunes. Plus que dans toute la Patagonie, le ciel est incoryable de couleurs de texture de nuages, de modification des couleurs.

Je suis allé passé trois jours dans le parc national Tierra del Fuego. Jusqu’à présent, tout les parcs que j’ai fait était dans les terres. Mais ici on est au bord de l’océan, et donc l’air bien et froid vivifiant de l’océan accompagne la marche. Un sentier bien boueux permet de monter assez haut pour admirer le parc, et l’océan et à 1000 kilomètres au sud, ba, c’est le pòle.

J’étais seul les deux nuits dans le camping, donc calme absolu ¡ si ce n’est les gros poissons qui font des gros schplouf ¡ Et par ici, peu de temps après le lever de lune, la lumière du soleil est perceptible. Donc, pas besoin de lampe de poche.

Voili voilou les dernières nouvelles argentines. Après presque deux semaines à Ushuaia, je vais partir ce week-end sur Punta Arenas pour commencer la remontée.

 

Besitos grandes a todos.

Toma

Claro, sur voyure patagonie toutes les photos hein !
ps  : j avais une vidéo de la ville mais elle passe pas...next time. SI CA Y EST, CA MARCHE
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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 02:00

Bonjour, hola, hey ¡

 

 

Un, un, one an, año year que estoy viajando., que je voyage, that I´m travelling.

 

 

So special edition, edition especiale, edition spéciale…en trois langues, tres idiomas, three languages…a ver…

 

 

 

VO

 

Eh oui, douze mois écoulés en 365 jours…Non pas que je m’améliore en math, plus pour souligner combien le quotidien de voyage me plaìt. La routine devient si enrichissante. Voir tant de belles choses naturelles, artificielles, surnaturelles, surartificielles. Hum. Apprendre des langues, des cultures  {et meme un peu d`agri), lire plein de bouquins, plein de temps pour penser. Jouer, pas mal, de la guitare. M`améliorer en organisation et surtout devenir un vrai de l`impro.  Découvrir des tonnes de vies differentes. Une vie faisant, disons en moyenne, 70 kilos par personnes.

A l´heure de ce bilan annuel, je dois dire que j´ai changé de point de vue : faire le voyage de sa vie, c´est chouette. Faire du voyage ma vie, je trouve que ça sonne mieux. Après un an aux Ameriques, je sens l´envie de retourner en Europe. La France un peu, l´Espagne plus…Parait que la vie à Barcelona vaut le coup, l´Andalousie pour le flamenco aussi…

Avant tout ca, je vais finir la Patagonie. Et en beauté : le sud sud sud, bien tranquillement, hors saison, un chouille frais…El Chalten, le Fitz Roy, El Calafate, les glaciers…Et Tores del Paine, au Chili ou je serais normalement deuxieme semaine d´avril, pile poil pour avoir des folies couleurs d´automne, et des bonnes cession de flottes aussi….Conséquences de ces contraintes climatiques  : je sais pas combien de temps cela va me prendre. Puis hasta Ushuaï, la terre de feu, ou le climat devrait commencer à être un peu enervé

Ensuite, je remonterais jusqu´a Santiago, irai voir l´ile de Paques…Si possible, un petit coucou a Buenos Aires, et ensuite Paris. Au planning actuel, Paris au plus tard deuxieme semaine d´aout.

 

Genre le 15, pour faires une bonne fete un jour ferie. PARFAIT.

 

 

Je suis actuellement en Esquel, après un mois genial en El Bolson. Je part mardi sur la ruta 40. Les connexions sont apparement quasi inexistantes. Rendez-vous donc dans un petit mois pour vous dire comment s’est passé ce début d´année.

 

 

Bisous a tous. Bonne élection hein ¡

 

 

Toma


V.Español, castellaño, re-porteño. Che…

 

 

Queridos boludos, cariñosas bolludas…

 

Como estan?

 

Ahora si,  12 meses en 365 dias. Todavía, yo no soy un genio de matemáticas. Pero mas por decir que la vida de viajero me encantada : divinissima ¡¡¡ Cada día es diferenta,  tan rico.   La rutina es tan interesante, ver tan cosas naturales, artificiales, surnaturales y a veces surartificiales. También aprender nuevas idomas, otras culturas, leer muchísimo libros, mucho tiempo para pensar, tocar la guitara, devenir bueno en organización y mas importante, de la improvisación.

 

Después de un año de viaje, haye un poco de cambio : creo que no voy a hacer le viaje de mi vida, pero mas una vida de viaje... me parece mejor. Ya tengo ganas de regresar en Europa, en Francia, si un poco pero mas en España, para disfrutar la vida que espero loca de Barcelona. Y también la Andalousia para tocar el flamenco.

 

 

Pero antes todo, voy a terminar la Patagona , por la parte la mas increíble: el sur sur sur, tranquilamente en la temporada baja, un poquito fresco pero bueno…el Chalten, Fitz Roy, Calafate..y Torres del paine en Chili. Y hasta Ushuai…Y me quedo un poco mas de tiempo una vueltita a Buenos Aires.

 

Pienso que si todo va bien y si no haye cambio debería estar en Paris en Augusto.

 

Ahora estoy en Esquel, y me voy en la ruta 40…Entonces nos vemos en un mes ¡

 

Un besito grande a todos.

Toma 




 

 

Hi everyone,

 

 

What’s goin on ¿ Hoppe that everthing is all right…

 

Well, well, well, one year the road. 365 amazing days, when the routine becomes so interesting.  See so many beautiful things, natural, surnatural, artificals, and surartificials ; sometimes. Learning new languages, cultures (and even a little bit of agri), read lots of books, lot of time to think. Playing a lot guitar.
And at the moment of the annual review, I have to say I change the order of the words : I’m not gonna make the travel of my life but more a life of travels. And after one year in , I feel like going back in Europe … A bit in France, more in to enjoy Barcelona , y discover the flamenco en Andalousia.
But before this, I’m gonna finish the Patagonia by the nicest part, the south south south..:El Chalten, Calafate, los glacieres, in Chili the national Parc of Tores del paines, and then until Ushuaia. If everthing is all right, then I go up until Santiago , eastern island. If I still got some times, I’d also like to go back for few days in Buenos Aires .

 


Right now I am in Esquel, living tomorrow to El CHalten…lot of lost places, so I think  : “see u in one month”.

 

 

Take care all of you.

 

Toma

 

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15 février 2007 4 15 /02 /février /2007 19:17

Beaucoup de kilometres à pied...ça use pas trop

La route vers le sud se poursuit doucement dans un environnement incoryable et avec quelques chouettes rencontres.

Avant de partir de Bariloche, je suis monté deux jours dans un refuge coincé entre deux glaciers. Une petite marche sympa pour un paysage grandiose.  A par qu'aui petit matin, c'était jour blanc, avec beaucoup de vent...J'ai failli faire du cerf-volant avec ma tente au moment de la demonter...

Puis, un petit coup de bus pour arriver à El Bolson, la ville hypie d'Argentine. Bon, alors il y a les jeunes hypies, tous dreadlockés faisant des bracelets, boucles d'oreilles....Bref rien de bien folichon. Puis il y a les vrais, les plus vieux, tel Augustino, le proprio de l'auberge ou je suis en c moment. Un type vraiment sympa, drôle, qui fait une petite bière sans étiquette. L'auberge est fait deux petites maisons que l'on partage á huit...Bonne ambiance ! "la casa del viajero" est donc mon campement de base á El Bolson. En effet, dans le coin, il ya aussi de chouet treks à faire, sur des sentiers pas forcements bien balisés, plus difficiles et donc avec moins de monde qu'à Bariloche.

 

6 jours

La première marche a duré six jours, pour quelques 90 kilometres, le tout en autonomie totale.Et ouai, je suis un vrai maintenant. Le premier jour, la marche d'environ 5 heures se fait le long du Rio Azul, pour arriver au refuge se trouvant au pied d'un glacier. Apres une petite sieste, je suis monté, enfin presque fait une heure casi a plas ventre tellement la pente est forte pour arriver à une magnifique lagune verte, avec de gros glacons dessus !! De retour au refuge Hielo del Azul, un peu fatigué, j'entends "ehh,TOmaaaaaa !!"...Et vl'a ti pas que je vois Mara, une amie de la fille qui m'a hebergé à Neuquen, et une des ses amies. J'avais vu son frère, à Mara, a Villa Trafful, plus tòt dans le voyage. Bref, la soirée fut bien sympatique, et le lendemain nous sommes partis vers le deuxième refuge. Ce sentier est probalblement l'un des plus durs que j'ai fait. D'une part, il n'est pas bien balisé. Ainsi, plusieurs fois nous avons pris la mauvaise direction, ce qui au final a bien du nous ajouter une heure de marche.

Ensuite car les premieres 45 minutes, ce font elles aussi casi à plat ventre,et que les deux dernières heures, casi sur les fesses tellement la descente est pentue. Enfin, car les Argentins ont un sens de la désorganisation tellement abouti  : les deux filles venaient dans la montagne en petites chaussures de villes et avec de petits sacs...Bref la marche était lente, ce qui me penait un peu, car, mon sac était encore bien rempli de provision, et donc relativement lourd. M'enfin !

Après une bonne nuit de repos au Cajon del Azul, je suis mis en route vers el refugio Los Laguitos, à 25 kilomètres plus loin dans la forèt. Bref une bonne journée de marche, conclue en beauté par un plouf dans le lac. QUel bonheur ! En plus, le refuge étant vraiment loin, nous n´étions que 6 personnes. Quel calme, et que d'eau. C'est ce qui frappe lors des nuits dehors. Lorsque qu'il n'y aplus de bruits d'oiseaux, le bruit des chuttes d'eau, des cascades forment un mur sonore 'à 360 degrès, totalement inpressionnant !! J'ai paddé la journée suivante sur le leiux du refuge pour un peu me reposer, profiter de la nature, me baigner. Puis le lendemain, début du retour jusqu'à un autre refuge, soit 25 kilométres aussi. Et enfin, le lendemain retour à la Casa...

SO british

De retour á la casa, j'ai fait connaissance de Jon, un british, so british...Donc avec un humour terrible, et jongleur épatant. De fait, échage de bons services, lui m'apprend à jongler et moi lui apprends l'espagnol. Nous avons donc passsé quelques jours tranquilles dans le parc de la ville, á jongler, jouer de la guitare, rencontrer encore et toujours des gens de partout dans le monde et de dedans l'Argentine. Nous sommes aussi aller pècher dans le Lago Puelo...Enfin pecher...Jon a une ligne avec quelques hamecons, mais pas de canne..Berf, nous nous mettions à l'eau, relativement froide, poura ller déposer la ligne le plus loin possible et attendre. Résultat une petite truite qui a fini sur le grill, pour faire une bonne petite entrée !

Sans oublier une chouette "petite" fête dans la forêt. Puis, nous sommes partis trois jours dans la montagne. Et depuis hier, le climat s'est un peu degradé...Mais il devrait rétabli vendredi, pille poil pour l'ouverture du festival de la bière, spécialité locale !! Et autre bonne nouvelle, l'école a repris et bientôt la fac aussi...Donc, il ya de moisn en moins de monde !!!

Voila voila pour les dernières news. Vous remarquerz dans voyure un albun photos entièrement dedié à la Patagonie, mais la réorganisation des photos n'a pas marché ce coup ci.Les premières photos correspondent donc au début de ce message, le glacier.

BISOUSSSSS
Toma


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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 16:54

Bleu, vert, orange, jaune....

Ca devait bien exister, et je l'ai trouvé : le locutorio digne de ce nom, à la mode argentine. Soit un peu plus de 4 heures pou uploader les photos et vidéos...Z'avez intêret à dire qu'elles sont superbes sinon...

Aussi voici un peu de lecture, avec des images, des vidéos. Retour donc à partir du dernier jour à Neuquen.

Avant de partir en Patagonie, je me suis décidé à acheter une tente. Ce que je fis à Neuquen, et grand bien m'en pris. En effet, en arrivant à San Martin, toutes les auberges étaient pleines pleines pleines. Les argentins sont en vacances ! Donc forcément. Je me dirige donc vers le camping et arrivant à la réception, vers 22h30, un gars me dit  : "boa, c'est plein ! " Et comme c'est l'Argentine, éclat de rire général...Je sympatise vite faite avec le groupe de 5 chicos et un autre groupe de 3 filles...Bref nous sommes un dizaine en rad. Mais bon, le gérant nous propose un endroit tout en haut, sans electricité..."Trés bien !!!" Quelques heures plus tard, c'est guitares, chant autour du feu, pour plusieurs heures. La ville de San Martin n'a rien de top, et la nature est jolies, mais sans plus. Inutile de vous dire que j'étais un peu inquiet, car si c'est ça la Patagonie...

 

Villa Traful

3 jours plus tard, le temps de faire un coup de rafting et de m'organiser, je pars pour Villa Traful (les cartes du voyages sont enfin disponibles dans l'album foto voyure argentine..vers la fin9 Et là, très vite je suis rassuré. LA route est splendide, serpentant entre les "siete lagos" -7 lacs-, d'un bleu plus ou moins profond, bordés d'arbres surmontés de cimes enneigés... Villa Traful est un village tout en longeur, tout petit. Le camping est en bord de plage, et pour la première fois le soir, je peux admirer le ciel du sud, alongé trankilou et tout seul sur le sable...gaaaaa...Dans la ville je retrouve nombres de "locos" -littéralement les fous, terme amical hein, de San Martin-. "Hé les français, tu fais quoi ce soir  ? Vient diner avec nous..." Ba carrément... Bref, les soirées de camping sont vraiment chouettes. Pendant ces quelques jours je suis monter au Cero Negro. De la haut la vue sur les lacs est magnifique, tout autant que la nature qui est installée la haut. Ca resemble à ça

Aussi pour la première fois, je suis monter á cheval. Chouette ballade, dirigée par, ça ne s'invente pas : Géronimo !! De verdad, le soir, en étant assi, j'avais encore les fesses qui avaient l'impression de se ballader de droite à gauche....arf...

 

Lago Espero Chico and co and cho

Puis je suis allé passer une nuit, à Lago Espero Chico, le camping pour faire la fête, sur le bord du petit lac, encaissé entre les montagnes, aves les étoiles qui se reflétaient à la surface de l'eau. Gaaaa de nuevo. Puis je me suis rendu a Villa La Angostura...Et là hô plaisir suprême, il y a des chocolateria artesanal tout les 20 mètres....Inutile de vous dire que les alfajoles de mousse de chocolate (gateau typique d'argentine, rond, avec un enrobage croquant, avec un coeur de mousse de chocolat ou de dulce de leche -sorte de caramel- enfermé dans une couche se sablé chocolaté...gaaaaa à chaque fois), oui donc, ces gateaux m'ont nourris en grande partie... Dans le coin, je n'ai fait qu'une ballade, assez chouette, puisque qu'après, coup de froid, donc repos total avant de partir à Bariloche, ou je suis depuis presque une semaine maintenant.

 

Première fois...

Bariloche est une ville de montagne "normale", sauf qu'en bord d'un magnifique lac. Allez savoir pourquoi, personne n'a su me l'expliquer, c'est aussi le leiux de vie d'une grande communauté israélite...Ce qui parfois est compliqué, ba ouai, lire un menu en hébreux, ba c'est pas facile !! "Ah vous tu n'est pas d'Israël ? Ba...nan..."M'enfin, serveuse entièrment pardonée tant la bouffe du resto et ést bonne, et le chef bien rigolo.

Puis, je suis parti faire un trek de trois jours en autonomie totale..grande première pour el Toto...Et ba je pense que c'est le début d'une bonne série dans le coin. Pour résumer, pendant trois jours de marche, je ne cessais de me dire "mais c'est beau, beau beau".

Le premier jour de marche, de 12 kilomètres, se fait en grande partie sur des pistes de ski de fond. On commence à flan de montagne, puis dans la fôret...Et ce qui joli, c'est que comme il y a de l'eau partout, les grands arbres et des roseaux immenses se cotoient, avec plein de jolies fleurs. En sortant de la montagne, on découvre un cirque magnifique. Et pour y acceder, et ba, on se prend les 700 mètres de dénivelés dans la dernières heures. Bref, c'est les jambes un peu lourdes, que l'on arrive au camping...Et la c'est maaaggniiiquee....Il y a pas mal de monde, l'ambiance dans le refuge est bien chouette, et si vous regardez bien, le petit point orange en bas à droite, c'est ma tente. Sans oubliez la foto traditionnelle .

 

9 kilomètres, casi 8 heures.

Le deuxième jour est dur. La journée commence par une bonne demi heure de montée bien pentue comme il faut, puis presque trois quart d'heure de varape bien comme il faut pour franchir le col...Mais une fois la haut, la vue de la cordilière est magnifique. Puis descente aussi pentue que la montée, forcément....Puis un peu de marche dans la vallée, avec de gravir un nouveau col puis de redscendre pour arriver au camping. Et de la haut on voit ça Outre la marche physiquement exigeante, nous avons un temps typiquement patagonien qui fatigue. Quand le soleil est lá, il fait chaud chaud chaud, mais dès qu'il est caché par les nuages, il fait frais frais....Et comme il y a beaucoup de vent, frais lui aussi, et ba c'est en permanence, chaud, froid, chaud, froid. Mais vu la beauté de la nature, je vais pas me plaindre non plus, hein bon.

Le couple qui tient le refuge est super sympa, et le chocolat chaud que fait la madame, es tout simplent succcuuulllleeennnttt....J'ai failli lui demander un termos pour la route...

 

Tranquille.

 

Le troisième est 5 heures de marche dans la vallée suivant un jolie rivière pour sortir du parcs, et grâce u stop, je rentre en 30 minutes à Bariloche....Bonne nuit de dodo, journée de repos. Demain, dimanche, je monte à un refuge situé entre deux glaciers, et si cela ne coute pas trop cher, je ferai la ballde sur le glacier, avec crampons et tout et tout....

Voila voila....Toujours sur voyure argentine, vers les dernières pages, plus de fotos...

A bientot pour la suite.

Un besito re grande.

TOTO. (vous admirerez la houpette)

Voici les cartes dans l'attente d'un lien voyure spècial, mais la, plus le courage...

Générale

1

2

3

4

 

 

 

 

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