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4 mars 2008 2 04 /03 /mars /2008 23:49
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7 juillet 2007 6 07 /07 /juillet /2007 19:25
La fin de ces 15 mois de voyage fut de toute beauté ! Le nord du pays offre lui aussi de superbes paysages et Buenos Aires toujours autant de folie. Grâce aux jettables, il y a des photos aux charmes un peu old school, mais bon. Alors...


Après Mendoza, je me suis fait un petit trajet de 19 heures pour me rendre à Salta, la linda ! Et effectivement la ville est très chouette. Je suis allé faire une excursion au "salines grandes" : étendue incroyablement grande de sel à environ 4000 mètres d'altitudes ! La route traverse le desert nord-argentin plein de montages de toutes les couleurs ! Et on peut aussi voir des lamas avec leurs maîtres !
Aux salines, la vision est incroyable ! Cette étendue blanche, et le sel qui s'aglomère en hexagone ! Et l'eau toute bleue !

Chuttes !

Je suis ensuite rentré à Buenos Aires en avion. Et de la haute la vue est terrible  : le plat, la précordillière et au fond la cordillière.

De retour dans la capitale, je loge chez une copine, Véro, rencontrée à El Bolson, et direct la fête  : concert brésilien le premier soir, le lendemain concert d'un très bon groupe local puis fiesta dans un super endroit : la casa abierta ! Puis le lendemain, direction Iguazu, et les cataractes.

Là haut, Iguazu fait office de frontière avec le brésil, il fait bien beau et bien chaud et un peu humide. L'auberge était plein de gens bien sympas, tout comme les artisants rencontrés dès le premier soir et avec qui j'ai passé la plus grande partie de mes nuits !

De jour, le premier, je me suis rendu du côté brésilien qui permet d'avoir une vue panoramique sur les cascades. Car ceux ne sont pas des chuttes, et je trouve d'ailleurs que c'est plus impressionnant les cascades, plus jolies. Et, chose vraiment chouette, outre qu'il y 'ait en permanences des arcs en ciel géants, c'est qu'une passerelle permet de bien s'avancer, et ainsi de prendre une chouette douche d'embrunt dans un vacarme incroyable.

Le lendemain, j'ai passé la journée dans le parc du côté argentin. Ici, on est au pied des cascades ! La encore, sous un super soleil, la marche est vraiment géniale d'un "salto" à un autre, entouré de papillons de toutes les tailles et couleurs! Un régal ! Et point d'orgue, ce baigner dans une piscine naturelle et aller se mettre sous une chutte ! Genre Taïhiti douche, à part que l'eau doit pas dépasser les 12-13 degrés ! M'enfin se baigner dans un lieux si magique !!!


Epilogue
Puis retour chez Véro, et le encore et encore plus comme c'est le dernier week end : fiestas......c'est pour ça, j'espère que ce dernier message est tout de même compréhensible.
 
Je rentre donc lundi, la tête évidemment remplie de mille images des cette terrible grande année de voyage, et je vous rassure c'est pas fini...puisque fin juillet une amie mexicaine débarque en France, plus ou moins aux même dates, deux des chicos qui m'ont hebergé seront à Londres, tout comme Mara, l'anglaise avec qui j'étais en coloc a Buenos Aires. Et pas loin de Londres, il y a Manchester ou vit John, le fou d'El Bolson.
Mi aout, débarqueront en france Christian et Marcela, le couple de chilien carrément sympa, de Punta Arenas....Et en septembre, un couple de japonais devraient venir aussi.
Et puis en Allemagne, il y a Anna qui m'a hebergé à Seattle qui vit désormais à Berlin, André de Buenos Aires à Dortmund.
Et Nadia à Lisbonne, Beste en Turquie...des contacts pour aller en Andalousie aussi.
Bref, entre tout ça, il va falloir trouver un petit boulot (appel à offre !), un toit (de même). Et tout plein d'idées dans la tête. Avec en point de mire le Japon et l'Asie pour avril.

Au grand plaisir de vous revoir tous tout bientôt !
Un besito grande muy allegre !!!

El toto
ps : hésitez a me faire parvenir par mail vos coordonnées que je vous appelle dès que je peux !
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4 avril 2007 3 04 /04 /avril /2007 19:18

Toucher le ciel avec ses doigts 


Apres un mois passé dans la ville hypie, j’ai emprunté la route 40 et me voici rendu tout en bas du monde, en el fin del mundo. Récit de ces deux semaines, écrit de la maison de Mercedes, ou le chauffage ne marche plus. Autant dire que ça pèle un peu là.

 

Hola,


Adios el Bolson ¡ Il fallait bien partir un jour, mais j’éspère que je reveindrai dans cette ville, sans aucun doute mon coup de coeur d’Argentine et de tout le voyage.

L’étape suivante fut Esquel, petite ville sans grand chose à faire.  Mais la encore, des gens supers sympas. Arpès deux jours, je suis parti sur El Chalten par la route 40. Route apparement mythique, mais qui honnêtement n’a rien de terrible...

Bref un peu déçu, et décéption qui continuera un fois arrivé dans la “capitale nationale du trekking”...du treking d’une journée sur des sentiers presque tracés à la pelleteuse, sur lesquels des employés du parcs s’affairent à enlever les pierres pour que la marche soit plus facile.

La ville est posée aux pieds des montagnes, et c’est vraiment l’industrie touristique : très peu d’argentins, très peu aimables et tout très cher. Alors certes, le Fitz Roy et le Cerro Torre sont magnifiques, mais un peu dur à savourer , car il y a également beucoup de monde. En revanche, coup de bol, j’ai eu une journée splendide et donc ai vu les deux sommets, chose rare. Bref, arpès deux jours, je me suis enfui pour arriver à el Calafate. Là encore ville hyper ultra toutou, et pas de chance, j’ai passé la première nuit dans une auberge, ou j’étais le seul non israélien.

L’attitude de la jeunesse voyageante israélienne, tout autant que l’exaspération qu’elle provoque pour la casi totalité des autres nationalités pourrait faire l’objet d’un message à part entière. M’enfin, passons. Bref, suis resté tout seul dans mon coin, jusqu’à ce qu’une madrilène débarque et trouve elle aussi quelqu’un à qui parler. La demoiselle partait vers 3 heures du mat, nous nous sommes donc réfugiés dans un bar pour picoler quelques binouzes....

 

Pas de glace

Le lendemain, je me suis rendu -de bonne humeur vu que l’on venait de gagner les 6 nations et que j’avais changé d´auberge- au glacier Perrito Moreno. Après la déception d’El Chalten, j’étais un peu sur la defensive.

Mais là, non, rien á dire...le souffle est vraiment coupé face á cette étendue de glace. La masse bleutée est incroyable : 30 kilométres de glace, avec des bruits de craquellement incésants, qui résonnent sur les montagnes environnantes...et quand un bout de glace de 60 mètres de haut de détache et se fracasse dans l’eau, tout le monde se fige devant la beauté de la chutte. 4 heures á marcher à proximité de cette merveille et à la regarder passent à toute allure.

Et donne envie d’en voir plus. Le lendemain je suis aller au Lago Roca. De la, on a une vue plus large et d’un sommet on peut appercevoir le torres del Paines. Sauf que, le premier jour les nuages étaient très bas, et qu’il a plut le deuxième...Donc direction Rio Gallegos, ville de départ pour rallier le fin du monde.

 

Logique argentine

Rio Gallegos, c’est pas la fin du monde, mais plus sont, hum, trou de vous savez quoi. De fait, 2 jours et demi y passent lentement. Arrivé dans la matinée du jour un, je n’ai pu avoir une place dans un bus que le lendemain. Pour aller à Ushuaï on passe par le Chili, or mon visa de trois mois en Argentine ayant largement expiré, je savais que j’aillais payer une amende et je pensais que cela se faisait á la frontière, mais non. Je me pointe donc le matin au terminal et l’agent des douanes présent au départ m’informe que ça sert à rien que je prenne le bus car une fois à la frontière, je serais renvoyé à Rio Gallegos...

Et oui c'est dur de sortir du pays quant on est pas en règle. Moi je pensais que c´était l’inverse, que ne retenait pas les illégaux. Je suis donc allé au bureau d’immigration puor m’acquiter de 50 pesos d’ammende...50 pesos ¡ Si j’avais été à Buenos Aires faire une prolongation de 3 mois j’en aurais eu pour 100. Mouai, logique tout ça.

 

La fin du monde

Me voici donc a Ushuaia, ou je loge chez Mercedes, étudiante en tourisme et qui travaille dans une chouette auberge de jeunesse. Bref, elle a deux maison et de fait moi aussi...Sa “vraie” maison est tout en haut de la ville, à une demi heure du centre ville, et a une vue terrible...Seul petit problème,. Le sentier de tierre bien pentu pour accéder à la maison, surlequel je me suis étalé 4-5 fois déjà.

La fin du monde est une ville assez étendue, et qui est rapidemment sauvage, De nombreuses maisons sont dans les arbres, et l’autre jour nous sommes chez des amis qui vivent dans la montagne. La nature ici est belle, et l’air bien pur, bien frais aussi. La pluie en hauteur est neige. Les montagnes changent donc souvent de couleurs. Les arbres sont oranges, verts, jaunes. Plus que dans toute la Patagonie, le ciel est incoryable de couleurs de texture de nuages, de modification des couleurs.

Je suis allé passé trois jours dans le parc national Tierra del Fuego. Jusqu’à présent, tout les parcs que j’ai fait était dans les terres. Mais ici on est au bord de l’océan, et donc l’air bien et froid vivifiant de l’océan accompagne la marche. Un sentier bien boueux permet de monter assez haut pour admirer le parc, et l’océan et à 1000 kilomètres au sud, ba, c’est le pòle.

J’étais seul les deux nuits dans le camping, donc calme absolu ¡ si ce n’est les gros poissons qui font des gros schplouf ¡ Et par ici, peu de temps après le lever de lune, la lumière du soleil est perceptible. Donc, pas besoin de lampe de poche.

Voili voilou les dernières nouvelles argentines. Après presque deux semaines à Ushuaia, je vais partir ce week-end sur Punta Arenas pour commencer la remontée.

 

Besitos grandes a todos.

Toma

Claro, sur voyure patagonie toutes les photos hein !
ps  : j avais une vidéo de la ville mais elle passe pas...next time. SI CA Y EST, CA MARCHE
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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 02:00

Bonjour, hola, hey ¡

 

 

Un, un, one an, año year que estoy viajando., que je voyage, that I´m travelling.

 

 

So special edition, edition especiale, edition spéciale…en trois langues, tres idiomas, three languages…a ver…

 

 

 

VO

 

Eh oui, douze mois écoulés en 365 jours…Non pas que je m’améliore en math, plus pour souligner combien le quotidien de voyage me plaìt. La routine devient si enrichissante. Voir tant de belles choses naturelles, artificielles, surnaturelles, surartificielles. Hum. Apprendre des langues, des cultures  {et meme un peu d`agri), lire plein de bouquins, plein de temps pour penser. Jouer, pas mal, de la guitare. M`améliorer en organisation et surtout devenir un vrai de l`impro.  Découvrir des tonnes de vies differentes. Une vie faisant, disons en moyenne, 70 kilos par personnes.

A l´heure de ce bilan annuel, je dois dire que j´ai changé de point de vue : faire le voyage de sa vie, c´est chouette. Faire du voyage ma vie, je trouve que ça sonne mieux. Après un an aux Ameriques, je sens l´envie de retourner en Europe. La France un peu, l´Espagne plus…Parait que la vie à Barcelona vaut le coup, l´Andalousie pour le flamenco aussi…

Avant tout ca, je vais finir la Patagonie. Et en beauté : le sud sud sud, bien tranquillement, hors saison, un chouille frais…El Chalten, le Fitz Roy, El Calafate, les glaciers…Et Tores del Paine, au Chili ou je serais normalement deuxieme semaine d´avril, pile poil pour avoir des folies couleurs d´automne, et des bonnes cession de flottes aussi….Conséquences de ces contraintes climatiques  : je sais pas combien de temps cela va me prendre. Puis hasta Ushuaï, la terre de feu, ou le climat devrait commencer à être un peu enervé

Ensuite, je remonterais jusqu´a Santiago, irai voir l´ile de Paques…Si possible, un petit coucou a Buenos Aires, et ensuite Paris. Au planning actuel, Paris au plus tard deuxieme semaine d´aout.

 

Genre le 15, pour faires une bonne fete un jour ferie. PARFAIT.

 

 

Je suis actuellement en Esquel, après un mois genial en El Bolson. Je part mardi sur la ruta 40. Les connexions sont apparement quasi inexistantes. Rendez-vous donc dans un petit mois pour vous dire comment s’est passé ce début d´année.

 

 

Bisous a tous. Bonne élection hein ¡

 

 

Toma


V.Español, castellaño, re-porteño. Che…

 

 

Queridos boludos, cariñosas bolludas…

 

Como estan?

 

Ahora si,  12 meses en 365 dias. Todavía, yo no soy un genio de matemáticas. Pero mas por decir que la vida de viajero me encantada : divinissima ¡¡¡ Cada día es diferenta,  tan rico.   La rutina es tan interesante, ver tan cosas naturales, artificiales, surnaturales y a veces surartificiales. También aprender nuevas idomas, otras culturas, leer muchísimo libros, mucho tiempo para pensar, tocar la guitara, devenir bueno en organización y mas importante, de la improvisación.

 

Después de un año de viaje, haye un poco de cambio : creo que no voy a hacer le viaje de mi vida, pero mas una vida de viaje... me parece mejor. Ya tengo ganas de regresar en Europa, en Francia, si un poco pero mas en España, para disfrutar la vida que espero loca de Barcelona. Y también la Andalousia para tocar el flamenco.

 

 

Pero antes todo, voy a terminar la Patagona , por la parte la mas increíble: el sur sur sur, tranquilamente en la temporada baja, un poquito fresco pero bueno…el Chalten, Fitz Roy, Calafate..y Torres del paine en Chili. Y hasta Ushuai…Y me quedo un poco mas de tiempo una vueltita a Buenos Aires.

 

Pienso que si todo va bien y si no haye cambio debería estar en Paris en Augusto.

 

Ahora estoy en Esquel, y me voy en la ruta 40…Entonces nos vemos en un mes ¡

 

Un besito grande a todos.

Toma 




 

 

Hi everyone,

 

 

What’s goin on ¿ Hoppe that everthing is all right…

 

Well, well, well, one year the road. 365 amazing days, when the routine becomes so interesting.  See so many beautiful things, natural, surnatural, artificals, and surartificials ; sometimes. Learning new languages, cultures (and even a little bit of agri), read lots of books, lot of time to think. Playing a lot guitar.
And at the moment of the annual review, I have to say I change the order of the words : I’m not gonna make the travel of my life but more a life of travels. And after one year in , I feel like going back in Europe … A bit in France, more in to enjoy Barcelona , y discover the flamenco en Andalousia.
But before this, I’m gonna finish the Patagonia by the nicest part, the south south south..:El Chalten, Calafate, los glacieres, in Chili the national Parc of Tores del paines, and then until Ushuaia. If everthing is all right, then I go up until Santiago , eastern island. If I still got some times, I’d also like to go back for few days in Buenos Aires .

 


Right now I am in Esquel, living tomorrow to El CHalten…lot of lost places, so I think  : “see u in one month”.

 

 

Take care all of you.

 

Toma

 

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15 février 2007 4 15 /02 /février /2007 19:17

Beaucoup de kilometres à pied...ça use pas trop

La route vers le sud se poursuit doucement dans un environnement incoryable et avec quelques chouettes rencontres.

Avant de partir de Bariloche, je suis monté deux jours dans un refuge coincé entre deux glaciers. Une petite marche sympa pour un paysage grandiose.  A par qu'aui petit matin, c'était jour blanc, avec beaucoup de vent...J'ai failli faire du cerf-volant avec ma tente au moment de la demonter...

Puis, un petit coup de bus pour arriver à El Bolson, la ville hypie d'Argentine. Bon, alors il y a les jeunes hypies, tous dreadlockés faisant des bracelets, boucles d'oreilles....Bref rien de bien folichon. Puis il y a les vrais, les plus vieux, tel Augustino, le proprio de l'auberge ou je suis en c moment. Un type vraiment sympa, drôle, qui fait une petite bière sans étiquette. L'auberge est fait deux petites maisons que l'on partage á huit...Bonne ambiance ! "la casa del viajero" est donc mon campement de base á El Bolson. En effet, dans le coin, il ya aussi de chouet treks à faire, sur des sentiers pas forcements bien balisés, plus difficiles et donc avec moins de monde qu'à Bariloche.

 

6 jours

La première marche a duré six jours, pour quelques 90 kilometres, le tout en autonomie totale.Et ouai, je suis un vrai maintenant. Le premier jour, la marche d'environ 5 heures se fait le long du Rio Azul, pour arriver au refuge se trouvant au pied d'un glacier. Apres une petite sieste, je suis monté, enfin presque fait une heure casi a plas ventre tellement la pente est forte pour arriver à une magnifique lagune verte, avec de gros glacons dessus !! De retour au refuge Hielo del Azul, un peu fatigué, j'entends "ehh,TOmaaaaaa !!"...Et vl'a ti pas que je vois Mara, une amie de la fille qui m'a hebergé à Neuquen, et une des ses amies. J'avais vu son frère, à Mara, a Villa Trafful, plus tòt dans le voyage. Bref, la soirée fut bien sympatique, et le lendemain nous sommes partis vers le deuxième refuge. Ce sentier est probalblement l'un des plus durs que j'ai fait. D'une part, il n'est pas bien balisé. Ainsi, plusieurs fois nous avons pris la mauvaise direction, ce qui au final a bien du nous ajouter une heure de marche.

Ensuite car les premieres 45 minutes, ce font elles aussi casi à plat ventre,et que les deux dernières heures, casi sur les fesses tellement la descente est pentue. Enfin, car les Argentins ont un sens de la désorganisation tellement abouti  : les deux filles venaient dans la montagne en petites chaussures de villes et avec de petits sacs...Bref la marche était lente, ce qui me penait un peu, car, mon sac était encore bien rempli de provision, et donc relativement lourd. M'enfin !

Après une bonne nuit de repos au Cajon del Azul, je suis mis en route vers el refugio Los Laguitos, à 25 kilomètres plus loin dans la forèt. Bref une bonne journée de marche, conclue en beauté par un plouf dans le lac. QUel bonheur ! En plus, le refuge étant vraiment loin, nous n´étions que 6 personnes. Quel calme, et que d'eau. C'est ce qui frappe lors des nuits dehors. Lorsque qu'il n'y aplus de bruits d'oiseaux, le bruit des chuttes d'eau, des cascades forment un mur sonore 'à 360 degrès, totalement inpressionnant !! J'ai paddé la journée suivante sur le leiux du refuge pour un peu me reposer, profiter de la nature, me baigner. Puis le lendemain, début du retour jusqu'à un autre refuge, soit 25 kilométres aussi. Et enfin, le lendemain retour à la Casa...

SO british

De retour á la casa, j'ai fait connaissance de Jon, un british, so british...Donc avec un humour terrible, et jongleur épatant. De fait, échage de bons services, lui m'apprend à jongler et moi lui apprends l'espagnol. Nous avons donc passsé quelques jours tranquilles dans le parc de la ville, á jongler, jouer de la guitare, rencontrer encore et toujours des gens de partout dans le monde et de dedans l'Argentine. Nous sommes aussi aller pècher dans le Lago Puelo...Enfin pecher...Jon a une ligne avec quelques hamecons, mais pas de canne..Berf, nous nous mettions à l'eau, relativement froide, poura ller déposer la ligne le plus loin possible et attendre. Résultat une petite truite qui a fini sur le grill, pour faire une bonne petite entrée !

Sans oublier une chouette "petite" fête dans la forêt. Puis, nous sommes partis trois jours dans la montagne. Et depuis hier, le climat s'est un peu degradé...Mais il devrait rétabli vendredi, pille poil pour l'ouverture du festival de la bière, spécialité locale !! Et autre bonne nouvelle, l'école a repris et bientôt la fac aussi...Donc, il ya de moisn en moins de monde !!!

Voila voila pour les dernières news. Vous remarquerz dans voyure un albun photos entièrement dedié à la Patagonie, mais la réorganisation des photos n'a pas marché ce coup ci.Les premières photos correspondent donc au début de ce message, le glacier.

BISOUSSSSS
Toma


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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 16:54

Bleu, vert, orange, jaune....

Ca devait bien exister, et je l'ai trouvé : le locutorio digne de ce nom, à la mode argentine. Soit un peu plus de 4 heures pou uploader les photos et vidéos...Z'avez intêret à dire qu'elles sont superbes sinon...

Aussi voici un peu de lecture, avec des images, des vidéos. Retour donc à partir du dernier jour à Neuquen.

Avant de partir en Patagonie, je me suis décidé à acheter une tente. Ce que je fis à Neuquen, et grand bien m'en pris. En effet, en arrivant à San Martin, toutes les auberges étaient pleines pleines pleines. Les argentins sont en vacances ! Donc forcément. Je me dirige donc vers le camping et arrivant à la réception, vers 22h30, un gars me dit  : "boa, c'est plein ! " Et comme c'est l'Argentine, éclat de rire général...Je sympatise vite faite avec le groupe de 5 chicos et un autre groupe de 3 filles...Bref nous sommes un dizaine en rad. Mais bon, le gérant nous propose un endroit tout en haut, sans electricité..."Trés bien !!!" Quelques heures plus tard, c'est guitares, chant autour du feu, pour plusieurs heures. La ville de San Martin n'a rien de top, et la nature est jolies, mais sans plus. Inutile de vous dire que j'étais un peu inquiet, car si c'est ça la Patagonie...

 

Villa Traful

3 jours plus tard, le temps de faire un coup de rafting et de m'organiser, je pars pour Villa Traful (les cartes du voyages sont enfin disponibles dans l'album foto voyure argentine..vers la fin9 Et là, très vite je suis rassuré. LA route est splendide, serpentant entre les "siete lagos" -7 lacs-, d'un bleu plus ou moins profond, bordés d'arbres surmontés de cimes enneigés... Villa Traful est un village tout en longeur, tout petit. Le camping est en bord de plage, et pour la première fois le soir, je peux admirer le ciel du sud, alongé trankilou et tout seul sur le sable...gaaaaa...Dans la ville je retrouve nombres de "locos" -littéralement les fous, terme amical hein, de San Martin-. "Hé les français, tu fais quoi ce soir  ? Vient diner avec nous..." Ba carrément... Bref, les soirées de camping sont vraiment chouettes. Pendant ces quelques jours je suis monter au Cero Negro. De la haut la vue sur les lacs est magnifique, tout autant que la nature qui est installée la haut. Ca resemble à ça

Aussi pour la première fois, je suis monter á cheval. Chouette ballade, dirigée par, ça ne s'invente pas : Géronimo !! De verdad, le soir, en étant assi, j'avais encore les fesses qui avaient l'impression de se ballader de droite à gauche....arf...

 

Lago Espero Chico and co and cho

Puis je suis allé passer une nuit, à Lago Espero Chico, le camping pour faire la fête, sur le bord du petit lac, encaissé entre les montagnes, aves les étoiles qui se reflétaient à la surface de l'eau. Gaaaa de nuevo. Puis je me suis rendu a Villa La Angostura...Et là hô plaisir suprême, il y a des chocolateria artesanal tout les 20 mètres....Inutile de vous dire que les alfajoles de mousse de chocolate (gateau typique d'argentine, rond, avec un enrobage croquant, avec un coeur de mousse de chocolat ou de dulce de leche -sorte de caramel- enfermé dans une couche se sablé chocolaté...gaaaaa à chaque fois), oui donc, ces gateaux m'ont nourris en grande partie... Dans le coin, je n'ai fait qu'une ballade, assez chouette, puisque qu'après, coup de froid, donc repos total avant de partir à Bariloche, ou je suis depuis presque une semaine maintenant.

 

Première fois...

Bariloche est une ville de montagne "normale", sauf qu'en bord d'un magnifique lac. Allez savoir pourquoi, personne n'a su me l'expliquer, c'est aussi le leiux de vie d'une grande communauté israélite...Ce qui parfois est compliqué, ba ouai, lire un menu en hébreux, ba c'est pas facile !! "Ah vous tu n'est pas d'Israël ? Ba...nan..."M'enfin, serveuse entièrment pardonée tant la bouffe du resto et ést bonne, et le chef bien rigolo.

Puis, je suis parti faire un trek de trois jours en autonomie totale..grande première pour el Toto...Et ba je pense que c'est le début d'une bonne série dans le coin. Pour résumer, pendant trois jours de marche, je ne cessais de me dire "mais c'est beau, beau beau".

Le premier jour de marche, de 12 kilomètres, se fait en grande partie sur des pistes de ski de fond. On commence à flan de montagne, puis dans la fôret...Et ce qui joli, c'est que comme il y a de l'eau partout, les grands arbres et des roseaux immenses se cotoient, avec plein de jolies fleurs. En sortant de la montagne, on découvre un cirque magnifique. Et pour y acceder, et ba, on se prend les 700 mètres de dénivelés dans la dernières heures. Bref, c'est les jambes un peu lourdes, que l'on arrive au camping...Et la c'est maaaggniiiquee....Il y a pas mal de monde, l'ambiance dans le refuge est bien chouette, et si vous regardez bien, le petit point orange en bas à droite, c'est ma tente. Sans oubliez la foto traditionnelle .

 

9 kilomètres, casi 8 heures.

Le deuxième jour est dur. La journée commence par une bonne demi heure de montée bien pentue comme il faut, puis presque trois quart d'heure de varape bien comme il faut pour franchir le col...Mais une fois la haut, la vue de la cordilière est magnifique. Puis descente aussi pentue que la montée, forcément....Puis un peu de marche dans la vallée, avec de gravir un nouveau col puis de redscendre pour arriver au camping. Et de la haut on voit ça Outre la marche physiquement exigeante, nous avons un temps typiquement patagonien qui fatigue. Quand le soleil est lá, il fait chaud chaud chaud, mais dès qu'il est caché par les nuages, il fait frais frais....Et comme il y a beaucoup de vent, frais lui aussi, et ba c'est en permanence, chaud, froid, chaud, froid. Mais vu la beauté de la nature, je vais pas me plaindre non plus, hein bon.

Le couple qui tient le refuge est super sympa, et le chocolat chaud que fait la madame, es tout simplent succcuuulllleeennnttt....J'ai failli lui demander un termos pour la route...

 

Tranquille.

 

Le troisième est 5 heures de marche dans la vallée suivant un jolie rivière pour sortir du parcs, et grâce u stop, je rentre en 30 minutes à Bariloche....Bonne nuit de dodo, journée de repos. Demain, dimanche, je monte à un refuge situé entre deux glaciers, et si cela ne coute pas trop cher, je ferai la ballde sur le glacier, avec crampons et tout et tout....

Voila voila....Toujours sur voyure argentine, vers les dernières pages, plus de fotos...

A bientot pour la suite.

Un besito re grande.

TOTO. (vous admirerez la houpette)

Voici les cartes dans l'attente d'un lien voyure spècial, mais la, plus le courage...

Générale

1

2

3

4

 

 

 

 

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23 janvier 2007 2 23 /01 /janvier /2007 15:54

Enfin j'espere !!!

bon comment allez - vous ? ? ?
ici tout va bien, mais les connextion Internet patagonienne usent beaucoup ma patience.

Donc malheureusement les photos ca ne sera pas pour tout de suite, et un message détaillés sur le blog non plus. Pourtant je suis a Bariloche, grande ville, mais ca rame sever !

Donc, un petit message.

Bref, apres le nouvel an, je suis parti a Neuquen, petite ville sans reel charme, mais la fille qui m' a acceulli et ses amis, amies, étaient vraiement sympas. De plus se baigner dans le Rio, tout vert, bordé de grand saulles, je dois dire que c'est fort agréable.

Puis direction, San Martin de los Andes, ma première étape purement patagonienne. Une station de ski, pleine de jeunes donc sympas, que je retrouvais dans les autres campings de mes autres étapes. Avec un petit coup de rafting.

 Ensuite, je suis parti faire la routes des 7 lacs, et la les paysages sont tout simplement incroyabes  : des lacs bleu azur et foncés immenses, bordés par des montagnes de moyennes altitudes toutes vertes et plus haut des cimes toujours enneigées.

Une petite rando pourmonter a 2000 metres et admirer de la haut tout ça, une petite ballade en cheval aussi. Sans oublier une petite nuit dans un camping relativement sauvage, avec fetes sur la plage au bord  du lac dans lequel se refletait les étoiles...

Puis un coup de pouce pur arriver a villa Angostura,a vec une famille bien rigolotte, une voiture toute défoncée : il fallait que l'on descende quand les côtes étaient trop forte, et par ici, la région est bien valonnée... Puis un petit coup de froid, donc 2 jours de dododo dans une auberge. J'ai trompé le camping...

Et depuis hier, je sui donc a Bariloche (j'ai fait les phtots des cartes pour que vous puissez voir, reste juste a trouver une connexion satisfaisante pour uploader tout ça), grand centr ehivernal un pu huppé, mais a l'environnement magnifique. Demain je pars pour me faire un petit treck en solo de 3-4 jours. A voir car, ilñ y a un troncçon qui apparement pour l'instant n'est pas pratiquable. Puis diverse ballades dans le coin...

Voila voila....

Un besito grande...

Toma

 

 

 

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3 janvier 2007 3 03 /01 /janvier /2007 21:14

 

Aprés avoir réussi á m'échapper de l'attraction portena, je suis descendu jusqu'á Puerto Madryn, avant de remonter tranquillement vers les centre de la Pampa pour aller fëter le nouvel an dans le village d'un ami. Le tout relevé par un peu d'"aventure", beaucoup de rire, de rencontres. Et enfin,je comprends ce peuple. Voici donc un peu de lecture.

26 heures !! Il m'a fallu 26 heures au lieu des 18 -oui tout de mëme- pour faire le trajet BA á Puerto Madryn. La cause au bus dont le je ne sais pas quoi ne fonctionnait plus. Résultat une heure de route au ralenti pour rallier un bled perdu ou nous sommes restés pas loin de 7 heures...Le temps qu'un autre bus arrive. Alors moi, pour passer le temps (personne de mon äge dans le bus), je m'installe tranquillement et sors ma guitare. Et la tout va bien. Mais, au milieu de l'aprés midi, un type arrive, me demande mon nom, et voit l'instrument...Gaaaaaa.

Alors il se rapproche de moi, me regarde, reprend un peu de distance, et se met a me donner des tappes amicales en diant : "Toma, tocca. Toma joue.Toma, Toca..." Des que je jouais le type, genre l'idiot du village sans mechancete aucune- se taisait, me regardait en se dandinant.

Mais des que je m'arretais, paf, ca recommencer, les tappes et "Toma tocca, toma..." Alors prétexant l'impérieux besoin de sieste, je le quitte pour monter dans le bus. Mais sans clim', c'est un four. Je dois donc resortir et á peine le pied dehors, le gars me fait des grands signes, "Toma, Toma ! Toca..." C'est pas vrai !! aaaaahhhhh. Je me réfugie donc dans le terminal ou sont les autres passagers, endroit il n'entre pas. Un dame me propose de m'assoir a sa table,a vec son mari et deux autres personnes. Mais, de verdad, lá non plus, j'aurais pas du....Elle parlait toute seule avec une voix insupportable pour moi. Et la dilemne... Pour changer d'endroit, je ne vois qu'une seule solution : sortir fumer une cigarette. Mais dehors....Tant pis, je prends le risque, et naturellement je retrouve mon ami, qui semble plus calme. Nous parlons un peu, puis la compagnie nous offre a manger. Une heure plus tard, le bus de remplacement arrive. Encore trois heures de route, et nous arrivons vers 22 heures á Madryn. Inutile de vous dire que j'étais viollement fatigué.

 

 

Le vent souffle....

Madryn, et donc mes premiers pas en Patagonie, du cöté dela mer. Et je comprends pourquoi dans les guides ils disent de prendre un coupe vent...C'est fou ca... C'est simple, il y a tout le temps des courants d'air, mais ce n'est jamais une petite brise. C'est toujours fort, et parfois violent. Comme sur la Péninsula Valdes. Ce lieu, réserve naturelle, est magnifique. De lá, on peut aller voir des baleines, enfin juste la queue, mais on s´imagine aisaiement la taille du truc entier, des lions et éléphants de mers, et des pinguins...

J'aime bien les pinguins, c'est rigolo comme bestioles. Ouai, j aurais du en mettre un dans mon sac. Et bien alors que l´on marchait pour aller voir les bébétes de plus prët, le vent s'est intensifié jusqu'a nous faire reculer alors que nous, ba, on voulait avancer...Et ce pendant quasi une heure...Nous sommes donc retourner a la camionette, a reculons, non pas a cause du vent, mais á cause de la "tempete" de sable qui nous aveuglait... En tout, j'ai passé 3 jours dans la ville avant de partir vers las Grutas.

 

Seul, avant la saison

Las Grutas, c'est le petit village avec de jolies plages ou vivent quelques milliers de personnes hors saison et des dizaines de milliers pendant la saison. Et ce lieu n'est pas dans le Lonely, c'est les Argentins qui m'ont conseillés d'y aller. A la station de bus, je vois une voyageuse et lui demande donc si elle connait une auberge...Et oui. Nous entamons un bout de discution : le voyage, ses effets sur la personnalités, sur la vision de voir le monde....Et la, la petite dame est partie dans un monologue sur le numéro de passeport que j'estime a pas loin de 10 minutes. Ici, pour tout tout tout, le numéro de passeport est demandé. Alors gräce aux voyages, et aux nouvelles perceptions que cela lui ouvre la petite dame m'explique ces différentes perceptions du fait que le numéro soit systématiquement demandé....Et elle avait cinq, si je me souvient bien....

Vous me direz, si je pars dans des trucs comme ca...J'ai donc sorti l'argument ultime pour me rendre á l 'auberge : le besoin de sieste.

C'était la premiére fois que je mettais les pieds dans un petit village...et bien, dés que l'on sort du centre, soit des 3-4 rues commercantes, les rues ne sont ni asphaltées, ni goudronnées...et, les rues n'ont plus de nom non plus... Pendant 3-4 jours j'ai profité de la plage et un peu de l'océan, un peu frisquet par ici. A l'auberge, et ba, jétais seul. Ce qui m'a permis de bien discuter avec les soeurs qui tiennent l'hostel et qui ont eu une vie pas facile facile.

Noel

Puis je suis parti vers El Condor, autre station balnéaire. Mais elle vraiment petite...le centre de la ville se resumant a une demi rue... Je me suis posé dans un camping, et ai loué une tente. la derniere nuit le vent s'est levé et paf, la tente m'est tombée dessus...gaaaaa elle est ou la sortie  ? ?

El Condor a de jolies plages...en fait, c'est assez spécial. D'abord il y a une petite ligne de dunes, puis une vaste etendue vide, d'un sol craquelé par le sel. En marchant dessus, on se croit vraiment dans le désert car on ne voit pas l'océan qui se trouve quelques centimétres plus bas.Mais en fait, les mirages de chaleur le dissimule. Et apres environ 15 minutes de marche, on arrive enfin sur le bord de mer. Pour Noel, les gerants du camping m'ont invite á partager l'assado avec eux et la famille.

Et toujours no news de Buno, le type qui m'a invité á passer le nouvel an chez lui...J'appelle, j'appelle, mais no news. Bon, il me reste 4 jours...

Les jeunes

Je me suis en suite rendu a Sierra de la Ventena. (temps que j'y pense, bientot les cartes en lignes, next time, j 'ai oublié mon appareil). C'est une chouette petite ville, assez localement touristique. Dans le mini van qui emméne la dizaine de personnes, une indienne se met á tapper un scandale car...elle a a oublié de descendre du bus et que personne ne lui a dit...Bref, je commence a me marrer ainsi que l'autre p´tit jeune et ses potes assis pas loin de moi. A la descente, nous faisons connaissance : des aamis de longues dates, de 17 ans qui partent pour la premiére fois ensemble en vacances. Je me joints donc á eux et atterissont dans un camping vraiment terrible. Bien rigolos ces petits jeunes mais heureusement que j'étais las, car pour louer des vélos, acheter de la biere, il faut étre majeur. Nous avons aussi fait une marche jusaqu'á la ventana (fenetre) naturelle qui donne son nom a la chaine de montagne. Ouai...la fenetre, c'est une arche naturelle, et pas forcement grande en plus. Mais bon.

Nouvel an mérité

Le soir de la marche je pars vers Pehuajo, mëme si je n'ai toujours aucune nouvelle de Bruno. Et le voyage fut long, la aussi. En fait de Sierra, je pars vers Tonquist. V'la l'hotel, enfin surtout les tenanciers : un vieux, sa femme folle qui ne cesse de dire "ha hum hum ha hum" et de trotinner partout, et un autre vieux monsieur tout gentil...L'hotel, est carrement vieux mais tout fonctionne.

Le lendemain matin je pars vers un petit bled, d'ou je dois pouvoir prendre un collectivo pour Pehua. Mais arrivé sur place, et bien, il n'y aucune place avant 2 jours...et nous sommes le 30. Hors de question de rater le nouvel an... Je me suis donc fait les 200 kilometres en stop, en quelques 7 heures tout de meme. Bien sympa les routiers du coin, quoique, une fois, ba, je me suis demande si quelqu'un alle passer sur la route : j'étais carrément in the middle of nowhere.

J'arrive enfin a Pehua vers 16 heures, et la, no news de Bruno. J'appelle chez lui, personne non plus. Et la j'avoue que j'espere ne pas avoir fait une bétise. M'enfin, m'en vais sur Internet et une heure plus tard, je rappelle et yoha, la soeur me répond et vient me chercher. En fait, le Bruno s'est fait voler son portable.

Apres 20 minutes de marche, nos arrivons chez la famille. Dans ce barrio, les rues sont en sables, l'eau n'est courante que s'il pleut et en tout cas jamais potable. La famille est comme Bruno, super gentille. Eux non plus n'ont pas de nouvelles,  mais "on appellera plus tard a sa pension pour savoir". De fait, vers 17heures nous  nous asseyons autour de la table, et picolons de la biere jusqu'a 24h30, heure á laquelle arrive Bruno. Je ne fus pas en tëte a téte avec la famille pendant tout ce temps, car tout le monde dans le bario se connait et fetes obligent, tout le monde va de maison en maison...Et puis la fait qu'un franchute soit dans la coin....

Et depuis, cette heure la fete n'a casi jamais cessée. Le 31, la journée a commencer vers 15 heures, nous sommes restés a la maison jusqu'á 5h30 du mat´ avant de sortir dans le centre, toujours bondé jusqu'a....je sais plus....mais il faisait chaud quand on s'est couché, et ce fut dur de ce lever a 13 heures pour aller déjeuner avec la Grand mére !!!

Suite.

Voila voila. Je viens d'arriver a Neuquen, ou je vais passer 2 jours et le w-e dans le village de la fille qui m'heberge et lundi, San Martin d elos Andes et le début de la descente vers Ushuaï. De nouvelles fotos sont en lignes.

UN BESITO GRANDE A TODO
Toma, el flaco rubio frances.....

 

 

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4 décembre 2006 1 04 /12 /décembre /2006 21:30

C’est reparti

Hola todos ! Que tal ? Espero que todo va bien.

Avant tout, confuses mais impossible de faire les accents.

 

Le 7 , je vais reprendre mon sac  et les routes après un peu plus de deux mois dans la capitale argentine…Deux mois et deux messages, ca ne fait pas beaucoup je remarque. Certes mais c’est qu’il y a tellement a dire, qu’au final je ne savais pas trop quoi ecrire. Et tous les etrangers recontres ici vous diraient la meme chose. C’est en parti pourquoi je suis reste plus longtemps que je ne le pensais pour essayer de mieux comprendre la culture, la vie portena. 

 

Le castellano

Pour comprendre, il faut parler. Profonde la pensee… Le castellano s’apprend relativement facilement (mais je le travaille beaucoup) et s’avere etre une langue directe aux nuances difficiles a saisir. Ainsi parfois, je m’attendais a certaines choses, qui ne se passaient pas ou je ne savais pas comment me comporter (blagues, pas blagues...) avec les argentins, qui soit dit en passant sont des gens absolument charmants. Ce Heureusement, une fois la langue mieux maitrisee, les rapports se sont vraiment detendus et enrichis.

En revanche mon gout pour le chambrage est a utiliser ici avec la plus grande precaution, le meilleur de tout et n’importe quoi etant de facon globale argentin. Et chaque barrio de la ville a LA meilleure boulangerie, boucherie…de Buenos Aires, soit du pays…Et comme l’Argentine est le meilleurs pays du monde…Je vous dirait dans quelques mois si chaque village est LE village ou vivre.

Consequence probable de leurs racine italiennes, du sud, surtout. Bref, ils sont fiers fiers fiers.

 

L’eau

Meme si leurs pinard, je le reconnais volontiers, ‘ta rerico, les Argentin sont comme de l’eau en etat ebolutionaire voir revolutionnaire

C’est a dire…D’apparence ca semble calme, jamais de bruit excessif. D’une brasserie pleine n’emergera qu’un murmure continu avec parfois, un coup d’ebullition et des grands eclats de voix. Idem dans les bus et tous les lieux publics, ou les argentins font preuve d’une grande civilite…Vous etes avec un ami dans les bus, avec deux iege non cote a cote…Presque a chaque fois, les gens de deplaceront pour que vous puissez etre cote a cote. “he gracias, no no, de nada”. Les personnes agees et femmes enceintes, n’ont aucun soucis a se faire. Bref, comme tout ce qui est plein de bulles, la ville reserve de nombreuses surprises.

Des personnes qui rappellent alors que je pensais ne plus jamais avoir de leur nouvelles. C’est aussi incroyable le nombre de fois que j’ai rencontre des gens que je connaissais dans la rue. Ou inversement, les personnes te dissent “oui, je viens sur…”, et elles n’arrivent jamais…Ca c’est le cote instable de l’agua.

 

La vie.

Le rythme de la vie quotidienne joue un grand role dans le defasage severe qu’impose la ville : les portenos utilisent Presque integralement les 24 heures d’un jour, entre activites artistico-communoatrio-diverso dans la matinee et debut d’apres midi, ensuite un petit tour pour excercer un petit boulot quelconque, et vers 19-20 heures debute la fac. Ce qui induit un diner vers 22h30. Les sorties ne se font donc jamais avant minuit, et une fete qui commence avant 1 heure du mat’, c’est rarrissimo…de fait, je n’ai jamais vu autant d’aubes qu’a Buenos Aires. Mais ici, se coucher a 7 du mat, c’est normal. Sauf que je ne sais pas comment ils font pour tenir ce rythme. A noter regalement, que lundi-mardi sont “week-end” de fetes…Mais du mercredi au dimanche…

Grace a toutes ces fetes, j’ai parcouru la ville de long en large de haut en bas. Les collectivos permettent de se deplacer relativement facilement, et ce 24 sur 24.

Je pourrais encore parler des cartoneros, du cout de la vie, de la bouffe….mais bon, j’aurai plus rien a vous raconter ensuite quand je rentrerais.

 

La suite

Les prochains jour, je descends la peninsula Valdes et remontrai ensuite vers Buenos Aires puisqu’un ami vivant pas loin de BA m’a invite a passer Noel et le nouvel an chez lui…Puis Patagonie.

 

Il y a de nouvelles tres jolies photos prise par Gaetan , et ici deux videos serieuses faites par Maral.
www.youtube.com/watch?v=6nv9-00Jim8
www.youtube.com/watch?v=j14YPhTHnpk

 

Une beso grandissimo a todo.

Thomas, Toma, tomatito, tomassito…que mas ?

 

 

 

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14 novembre 2006 2 14 /11 /novembre /2006 19:43

Le temps...C'est de...

Bien le bonjour à tous...Bueno, le quart de siècle vient de sonner. Le premier  : j'écris pas ça pour ceux qui ne me l'ont pas souhaité, hein, vu que perso, j'en connais que très peu. Juste, c'est une bonne occasion pour faire le point.

Tout va bien. Depuis le départ, qui remonte à 7 mois maintenant, je fais vraiment ce que j'avais envie de faire depuis longtemps.

Le voyage : découvrir, comprendre, apprendre de nouvelles cultures, être déraciné, happé par une ville, avoir le temps de marcher, de lire, de jouer de la guitare. De l'avoir, le temps. Apprendre de nouvelles langues, mieux maîtriser l'organisation, le négociation, l'improvisation. N'avoir aucune contrainte. Voir d'autre mode de quotidien, les envisager, avoir une nouvelle vision de la Vie, du temps,  de leurs valeurs,  de ce que je vais pouvoir en faire...

Dans les bouquins d'école, et leur éducation, on lit souvent que les voyages forment la jeunesse. A ba, je ne pensais pas que ce fusse aussi vrai. Hé, La classe le "ce fusse" hein. Donc, ce que je ferai-s-, pour le moment, yo no lo sé. Pour cette ultime question, je verrai plus tard. Ne m'étant jamais senti aussi bien que maintenant, je ne pense pas faire fausse route. Je me sens vraiment dans mon élément, ce qui ne veut pas dire que ce soit facile. Mais quant les difficultés ne posent pas de soucis, juste l'envie de les résoudre, d'en découdre et de ne surtout pas les éviter, c'est que c'est bon. Non ?  C'est de la construction. 

25,26,...,

La vingtsixième année sera consacrée à L'Argentine, Le Chili, La Bolivie Colombie ?¿ et le Brésil á l'heure actuelle.  Il me reste encore un mois á Buenos Aires. Ca y est après un mois et demi, je commence à saisir comment ça fonctionne. Mais je ne m'étais jamais senti aussi loin de la France. Pas facile à appréhender les portenos. Rien d'évident, ce qui demande du temps. Rien d'éxubérant, de démonstratif, ce qui parfois me paraît ambigü.

Donc, début décembre je commence à descendre vers le Sud. La Pampa, la plage, avant d'arriver en janvier en Patagonie, ou j'espère y passer deux mois, entre le còté argentin et chilien. Puis remontée jusqu'à la Bolovie. Vu l'anarchie ambiante que tout le monde me décrit, hum...j'sens que ca va me plaire. Et de là Brésil et si possible, back in Buenos Aires par le nord. Ce qui devrait me prendre au bas mot une année. Ensuite...Déjà la Patagonie.

Buenos Aires, fin et suite.

Pour cet ultime mois à Buenos Aires, je tente le concept auberge espagnol. Je vis dans une chouette maison avec une terrasse terrible. Je partage avec une anglaise droguée au tango, qui s'est faite larguée par son p'tit français, par mail, la veille de son arrivée à BA. Mais il vit avec nous pour quelques jours. C'est beau le flegme anglais.

Une canadienne qui vient de réaliser qu'elle aimait un...français rencontré dans une auberge et qui donc risque de partir bientot. Et la proprio du Chili, un peu maniaque sur la propreté...

Auparavant j'ai passé une semaine dans une maison, collectivité plutôt totalement barrée. Une grande et vieille maison, habritant 7 personnes. Sans serrure, ni électricité. Avec une poubelle perçée d'un pommeau en guise de douche. Mon hôte, chilien, antropologue et joueur de flûte, je ne l'ai que très peiu vu...En revanche, quelles soirées ! Notamment une fois, 15 personnes environ sont venu jouer de la flûte de pan, autour du feu flambant dans une des patios de la maison ! Avec en son sonore, les trains longeant la maison...Arf.

Bueno bueno. Me voy a comer.

Un besito grande a todo !
Toma

 

 

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